Connaissez-vous les Communautés sur Google+? Elles sont à Google+ ce que les Groupes sont à Facebook. Ce sont donc des espaces de discussion thématique publics, sur invitation ou privés.
Les Communautés ont été créées pour échanger des idées, discuter avec vos amis et contacts. Cependant, vous pouvez aussi les utiliser comme système de bookmarks privé ou collaboratif. Il suffit de créer une communauté privée sur laquelle vous partagez vos découvertes et articles que vous désirez conserver et archiver. J’ai découvert cette astuce sur le profil Google+ de Ronnie Bincer.
Voici comment faire pour utiliser une Communauté Google+ comme système de bookmarks:
- Dans un premier temps, créez votre Communauté Google+ privée.
- Dans la colonne de gauche, sélectionnez Communauté et cliquez sur le bouton rouge Créer une communauté.
- Une fenêtre vous demandant de sélectionner le type de communauté que vous désirez créer apparaîtra à l’écran. Sélectionnez Privée.
- Nommez votre Communauté et appuyez sur le bouton bleu qui se nomme Créer votre communauté.
- Une fois votre communauté créée, ajoutez quelques catégories. Vous pourrez utiliser les catégories pour classer par thématiques vos signets et découvertes.
- Au-dessous du nom de votre communauté et de l’image qui la représente, cliquez sur le bouton qui se nomme Actions – Modifier la communauté.
- Ajoutez vos catégories en sélectionnant Ajouter une catégorie.
- Une fois que vous avez terminé, appuyez sur Enregistrer.
- Vous pouvez ajouter le nombre de catégories que vous désirez. En tout temps vous pouvez revenir à cet endroit pour modifier les catégories de votre Communauté privée.
Pour sauvegarder du contenu sur votre Communauté privée, appuyez sur le bouton de partage. Remarquez que lorsque vous sélectionnez votre Communauté, vous aurez aussi accès aux catégories associées à celle-ci. Si vous utilisez Google Chrome, je vous suggère aussi d’ajouter l’extension Bouton +1 de Google. Elle vous permettra d’ajouter du contenu dans votre communauté privée depuis n’importe quelle page Web.
Benoit Descary
